Seul, en larme [Franklin à besoin de réconfort]

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Franklin, en larme, venait de s'enfuir d'un cours particulièrement pénible. Il se faisait malmener depuis plusieures minutes par un Noirness particulièrement vicieux quand il s'était finalement décidé à sortir de la classe. Par la suite, il s'était simplement adossé contre le mur au bout du couloir puis c'était assit par terre pour pleurer. Le jeune homme avait l'air plutôt pathétique mais cela lui importait peu. Les autres pourraient bien pensé ce qu'ils voulaient de lui, pour l'instant il avait besoin d'être seul... D'être consolé...

Franklin ignorait si quelqu'un allait revenir le chercher, mais espérait que sa sortit de classe ne se soit pas trop fait remarquer. Le professeur avait l'air de porté très peu attention à ses élèves mais d'un autre côté Matthew, Marion ou d'autre étudiants était peu être aller l'informé de son départ. Le jeune homme espérait intensément qu'on ne se mette pas en tête de lui donné une retenu. Il se sentait déjà assez déstabilisé!
Son comportement était peu être immature mais Franklin avait de plus en plus l'impression que cette nouvelle année était la pire depuis son entré à l'école. D'abord, il avait de la difficulté avec ses études et puis un Noirness particulièrement vicieux commençait à s'acharner sur lui. Le jeune homme était assez intelligent pour se douté du fait qu'il n'en avait pas fini avec Matthew. Il pourrait toujours aller en parler à un professeur, mais personne ne risquerait d'écouter un garçon de dix-sept ans si il se plaignait d'être intimidé...

Toujours assit en boule, Franklin pleurait encore. Il entendit des pas distant dans le couloir mais choisit de les ignoré. Peu importe ce que n'importe qui pourrait penser de lui maintenant. Si jamais il était chanceux, c'était quelqu'un qu'il connaissait et qui le consolerait un peu. Ce ne serait probablement pas le cas, mais malgré ses larmes le jeune homme gardait un peu d'espoir.

La vie est pleine de surprise, parfois heureuse, parfois malheureuse. La vie ne fait pas de cadeau, il faut se battre et se débattre. La vie est difficile car rien n’est décidé d’avance et que personne ne peux décider de son futur. Pourtant, la vie est si belle, même s’il faut savoir chercher. Il faut comprendre que rien ne se fait seul, que rien n’est parfait, que les moments difficiles font grandir.

Je n’ai jamais véritablement vécu de moment difficile. Ni intimidation, si grande épopée, ni rien. Et pourtant j’en rêve. Je rêve de grande aventure et de souffrance qui font grandir. Je rêve aussi du grand amour, celui avec un grand A. Je rêve d’une histoire digne des meilleurs livres d’aventure. Mais je ne fais que rêver.

Pour l’instant, je ne fais que rentrer d’une cour d’école banale pour traverser les grandes portes de ce magnifique château qu’est Madutsa. Un paysage familier, presque insignifiant, noyer par l’eau qui se déversé des profondeurs du ciel. Je suis aller me changer, je visite maintenant ce château que je connais depuis plus de 4 ans.

Un jeune garçon est adossé contre le mur d’un couloir plutôt vide. Un jeune garçon? A en regarder attentivement, je remarque qu’il s’agit de Franklin Holzer, un gars d’un an mon aîné que j’entends souvent parler comme un pleurnichard. Heureusement pour lui, je ne suis pas la pour me moquer de lui. Je ne me moque jamais des gens, et surtout quand je ne les connais pas. Il pleure. Je m’approche de lui, m’assis par terre. Je ne parla pas. Je ne bougea pas. Il me parlera si ça lui dit. Je veillais seulement a ce qu’il ne soit plus seul, plus importuné. Pour autant, j’étais prête a l’écouté s’il voulait bien ce confier.

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Franklin pleurait toujours quand la nouvelle venu s'approcha puis s'assit auprès de lui. Il l'ignora, se sentant un peu gêner. Probablement que si elle ne lui disait rien, s'était car il n'avait pas besoin de parler. Normalement, le jeune homme n'avait aucun problème quand venait le temps de parler à des inconnus, mais il n'aimait pas se confier au autres. Ses problèmes, s'était son affaire et les autres n'avait pas besoin de se faire du souci à cause de lui...
Se sentant mal alaise, il se retourna vers la fille au bout de quelques secondes. Il l'observa mais ne la reconnu pas; apparemment, c'était quelqu'un qu'il ne connaissait pas. Rougissant, Franklin détourna la tête et sécha tant bien que mal ses larmes dans sa manche de chandail. Le garçon se sentait obligé d'engager la conversation mais ne savait pas quoi dire. Il avait l'impression que peu importe ce qu'il dirait, ses paroles seraient déplacé...

- Euh... commença-il finalement. Sa va?

S'était probablement la fille qui aurait du lui pausé cette question, mais s'était toujours un moyen facile d'engager la conversation. Franklin savait qu'il avait probablement l'air un peu ridicule, mais ne pouvait pas y changer grand chose. Après tout, il c'était fait agacé, il n'avait pas pu le supporté et était partit pleurer sans réfléchir. C'était la pire année scolaire de sa vie, il ce l'était déjà répété des millions de fois. Au pire la fille le prendrait pour un idiot qui pleurait dans un couloir sans se rendre compte qu'il n'était pas seul dans l'univers. Pour l'instant, s'était sans importance.

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Je sortais de ma chambre, Comme toujours, J'avais mon livre de lecture dans les mains puis je sortais de ma chambre en me préparent pour une petite marche dans les couloirs, Je vis par la suite Rose qui était devant quelqu'un. Je m'approchais pour pouvoir identifier la personne et en arrivant près d'eux, Je vis Franklin assis par terre en larmes. Je froncis les sourcils puis me mis à genou près de Frank. Puis je lanca:

- Frank? Qu'ese qui ce passe? Tu va bien? Tu ne t'ai pas fait mal?...

Je m'arrêtais aussitôt pour ne pas trop exagèrer avec mes questions. J'esperai que Frank n'allais pas trop mal. Bref, J'attendait qu'il ce remette un peu et qu'il prenne son temps pour répondre, Je ferma mon livre en laissant mon doigt etre les deux pages que j'étais en train de lire pour ne pas être perdu dans mon histoire. Puis je m'accotais contre le mur en attendant une réponse.

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Franklin fut rassuré par l'arrivée de Mia, mais se sentait en même temps un peu embarrasser d'attirer l'attention de cette manière. Les deux jeunes filles auraient probablement du être en cours à la place d'être là avec lui. De toute manière, il n'allait pas si mal. Bien sur il était secoué et triste, mais le garçon n'avait pas l'habitude de partager ses problèmes avec les autres...

- Euh... Mia... Salut...

Hésita-il, rougissant. Franklin se sentait mal à l'aise et c'est confus qu'il ajouta, la voix tremblante et plus haute qu'à la normale :

- Che suis sortit de classe... Euh... (il renifla) Dissons qu'un gars de Noirness n'était pas très chentil afec moi...

Le jeune homme détourna la tête, un peu honteux. Les deux autres risquaient vraiment de le prendre pour un immature. À 17 ans, il aurait du être capable d'encaisser quelques paroles méchante sans quitté la classe en pleurant. En plus, il n'avait pas l'excuse d'avoir eut une enfance traumatisante ou quelque chose du style. Franklin se trouvait pathétique et se remit à pleurer à cette pensé. Il était une personne très fragile et ne pouvait le cacher.
Embarrasser par sa position, il baissa la tête, regardant le sol en se mordillant la lèvre inférieur. Il évitait de regarder Mia et Rose, craignant leur réactions. Il avait réagit de façon excessive et l'une d'elle finirait bien par lui faire remarquer, ne serait-ce que par un "ce n'est pas si grave". Il savait déjà que se faire insulté en classe par un Noirness n'était pas si grave, mais il ne pouvait s'empêcher de se sentir mal quand même. Et puis il avait l'impression de toujours s'apitoyer sur lui même depuis le début de l'année...

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Ah. J'était persuadé que s'était le grand Matthew, Un Noirness asser brute, C'est le seul qui aurait pu faire
ça à quelqu'un, Bref, C'est sur qu'il a du être blessant, Je n'était pas aller en cours ce matin, Le prof ne s'était pas présenter alors je suis partie. Je m'accotais sur le mur près de Franklin et il me Salua.

- Salut Franklin... Un Noirness, Tu parle bien de Matthew n'est ce pas?

Je resta assise en regardant le soleil aveuglant par la grande fenêtre sur le côté du couloir.Je laissais le temps à Franklin de sécher ses larmes. J'étais très fatiguer, Je n'avais pas vraiment dormis, Pour des raisons que j'ignorais complètement. Mais bon, Ce n'est pas plus grave que ça.

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[Rose pourrais-tu répondre s'il te plait?]

[Vous pouvez continuer sans moi, je n'ai pas vraiment le temps de répondre. Faite comme si Rose s'était excusé et était partie. Je suis vraiment désolé :/]

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[lol je répond après quoi? Six mois? Je ne sais pas trop si je dois être crampé ou avoir honte de moi. :S]

Rose s'excusa et parti, probablement pour retourner en cours, puis Mia lui pausa une question. Franklin prit une grande inspiration, parvint à plus ou moins bien s'arrêter de pleurer, s'essuya les yeux avec sa manche puis répondit à son amie :

- Oui...

Le jeune homme se sentant légèrement pathétique; pour la dix millième fois, il se répéta que ses actions étaient exagéré. Franklin détourna les yeux en se disant qu'au moins il avait réussit à arrêter de pleurer. Il aurait probablement à subir les conséquences de son impulsivité plus tard dans la journée, sous la forme d'une retenue, mais il parvenait petit à petit à mettre les choses en perspective. La présence de Mia était rassurante et, même s'il ignorait si son amie avait à se rendre en cours, il espérait qu'elle resterait avec lui. Hésitant, Franklin demandât :

- Tu n'afais pas de cours?

Il haussa des sourcils, ouvrant de grands yeux rougit par les larmes. Si Mia avait à partir, il pourrait toujours se rendre à l'infirmerie et prétendre s'être sentit mal, question d'éviter la retenue qu'il risquait de se faire coller. Peu être que cela ne serait pas très honnête de sa part, mais Franklin se sentait tout de même en état de choc. Même si on se moquait relativement souvent de lui, il n'avait jamais vraiment apprit à gérer ce genre d'attaques personnelles. Le jeune homme savait avoir beaucoup à gagner en essayant de prendre sur lui et de faire face à sa situation...

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